Belgique/ Belgium
"Booster" doses - understanding variable results
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Ce qui suit ci-dessus, en français plus bas sur la page ...
- insight into the problem,
- imposing mandates
- enforcing mandates and societal discipline.
It’s not just the Chinese who did this.
So did the Japanese and, to a lesser extent the New Zealanders and the Australians, and still way better than the US and Europe.
When I mentioned these steps to many in the past two years here in Belgium, the first quick comment was often:
"That won't work in Belgium."
In that case, Belgium should often check its supply of masks during the years to come.
Think about that. Think about your way to take action.
Voici deux réflexions sur les "boosters".
1.) Il existe des sujets médicaux liés aux "boosters" ou doses de rappels.
Il y a toujours eu une méthode de vaccination, même depuis les premiers vaccins. Cette méthode a été étudiée et doit être suivie. Aussi vrai aujourd'hui qu'alors. Une méthode correcte.
Un seul exemple (Je peux penser à plusieurs autres) : combien de temps après le deuxième vaccin faut-il administrer un rappel ?
Trop tôt et le système immunitaire n'est pas encore revenu à une ligne de base normale et ne peut pas répondre suffisament au défi immunitaire du "booster."
Délai minimum utile ? Probablement au moins 5 ou 6 semaines après la deuxième dose.
Trop tard, et les gens courent un risque accru de contracter une infection virale «percée» en attendant de recevoir le rappel.
Cela conduira à tout un éventail de résultats que vos voisins vont probablement vous dire.
ET si pas eux, au Journal Télévisé bien sûr.
Des "témoignages" fleuriront comme :
"J'ai eu la dose de rappel, et j'ai quand même attrapé le COVID-19 ! Inutile de le faire!"
ou,
"Deux doses de vaccin auraient dû suffire, mais j'ai quand même attrapé le virus, alors pourquoi en faire une troisième dose qui ne fonctionnera probablement pas non plus.?!",
et etc.
2.) Il existe des sujets politiques/sociétaux/administratifs liés aux boosters.
Un seul exemple (Je peux penser à plusieurs autres).:
Aujourd'hui, la Belgique a annoncé avoir jeté 150 000 doses de vaccin Moderna en janvier.
Pourquoi? Les décideurs avaient anticipé une grande effusion pour la troisième dose ou "rappel".
Ils ont converti leurs nombres projetés en décongélation des doses du vaccin Moderna.
Ces doses de vaccin décongelées n'ont jamais été utilisées (pour plusieurs raisons, mais la plupart du temps, la projection de la demande était loin).
Alors au lieu de les envoyer rapidement dans les pays du tiers-monde qui n'en ont pas assez (cela aurait pu arriver en 48h, avec le vaccin encore intact),
Ils les ont jetés.
Qui a payé ces vaccins ?
Je ne veux pas dire "le gouvernement a payé..."
Je veux dire en fin de compte, alors que les frais d'adhésion et de souscription à l'assurance maladie en Belgique ne cessent d'augmenter à des rythmes alarmants... Qui, finalement, a payé ces doses de vaccins qui ont ensuite été jetées ?
Qui sera remboursé ?
Pensez-y.
Aujourd'hui, 1 400 000 Belges ont encore besoin de la dose "de rappel", et souhaitent l'obtenir. Ils ne les auront pas.
Parce qu'ils ne recevront pas la dose "de rappel" à temps, 170 000 personnes à Bruxelles perdront leur statut Covid Safe Ticket le 1er mars, empêchant l'entrée dans les lieux qui l'exigent.
Rien qu'en Wallonie, 400 000 sont concernés pour les mêmes raisons.
Peu de choses sont aussi simples que le Journal Télévisé voudrait le faire croire.
Et ces deux points ...
Est-ce trop compliqué à comprendre pour le grand public ?
Probablement.
Est-ce assez clair, simple et basique pour éviter en Belgique de telles erreurs évitables à l'avenir ?
Probablement pas.
PS
Toujours à la recherche d'une solution à ce problème pandémique là où vous habitez ?
Penses-y.
Il s'agit finalement de :
- un aperçu correct du problème,
- imposer des mandats
- faire respecter les mandats par la discipline sociétale.
Il n'y a pas que les chinois qui ont fait ça.
Les Japonais ont fait de même et, dans une moindre mesure, les Néo-Zélandais et les Australiens, et toujours bien mieux que les États-Unis et l'Europe.
Lorsque j'ai mentionné ces étapes à de nombreuses personnes au cours des deux dernières années ici en Belgique, le premier commentaire rapide était souvent :
"Cela ne fonctionnera pas en Belgique."
Dans ce cas, la Belgique devrait souvent vérifier son approvisionnement en masques et doses de "boosters" au cours des années à venir.
Pensez-y. Réfléchissez à votre façon d'agir.
Il est temps pour une mise à jour
Pas besoin d'en dire beaucoup sur les images qui suivent.
De toute évidence, regarder les données en arrière est toujours plus facile que de deviner où nous allons et les données dans l'avenir.
Source des données présentées ici:
https://ourworldindata.org/coronavirus/country/belgium
Presque tout ce qui suit, ne concerne que la Belgique.
Impression : A l'heure actuelle, les cas se multiplient en Belgique.
Impression : A l'heure actuelle, les cas se multiplient en Belgique.
Impression : À l'heure actuelle, bien que les cas continuent d'augmenter, les décès signalés par jour dus au COVID-19 diminuent clairement bien qu'ils soient toujours présents.
Et alors?
Eh bien, le gouvernement impose très peu de restrictions à ceux qui sont morts.
Il se concentre plutôt sur ceux qui sont encore en vie.
Impression : Les personnes vaccinées représentent une grande majorité de la population. Pourtant, pas toute cette population. Et plutôt que de voir les vaccinations continuer à augmenter en ligne droite, les vaccinations ont atteint un plateau depuis fin juillet. Le fait que la majorité ait été vaccinée, par rapport aux cas quotidiens actuels, suggère que le niveau actuel de vaccination n'a pas diminué le taux d'augmentation des nouveaux cas. Si l'on dépend uniquement de la vaccination pour mettre fin à la pandémie en Belgique, alors le taux présent de vaccination n'est pas suffisant. (Ou les vaccins perdent en efficacité, alors que les vaccinés se sentent suffisamment protégés. Cela contribue au laxisme vis-à-vis des méthodes barrières).
Impression : Pour trouver ceux qui sont infectés par le SRAS-CoV-2 et qui le transmettent potentiellement à d'autres, il existe des tests disponibles et qui devraient être effectués, et sont en cours. Avec une plus grande disponibilité, le nombre de tests (ici par 1000 personnes) continuent d'augmenter. Mais est-ce suffisant ? Ce niveau de test devrait-il être encore plus élevé ?
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Les tests positifs reflètent, mais ne définissent pas, le nombre réel d'individus infectés dans la société.
Cela a toujours été vrai depuis le début de cette pandémie. Ce sera vrai dans toute épidémie en tant que principe déterminant de l'épidémiologie.
Certains sont malades et non testés. Certains n'ont jamais été "malades" (jamais symptomatiques), mais infectés et potentiellement (probablement) transmettant le virus à d'autres.
Les experts ont développé des modèles pour comparer scientifiquement le nombre de cas quotidiens signalés et le nombre probable de cas réellement infectés dans la société. Voici, pour la Belgique, les cas confirmés, et 4 modèles experts différents qui proposent le nombre réellement infecté au même moment.
Impression : 1. Les modèles prédictifs identifient les pics ou "vagues" de cas traversant la Belgique dans cette pandémie. 2. En général, les modèles suggèrent qu'à tout moment, les cas réels sont largement plus nombreux (de 2 à 6 fois) que les cas signalés réellement identifiés. Cette différence représente l'impulsion derrière l'idée que "ce n'est pas encore fini".
Les personnes non vaccinées, infectées, sont présentes dans la société.
Avec un masque sur leur nez, on ne peut qu'espérer.
Deux choses ressortent clairement de ce graphique : les quatre modèles conviennent que les véritables infections dépassent de loin le nombre de cas confirmés. Mais les modèles ne sont pas d'accord sur l'ampleur et la façon dont les infections ont changé au fil du temps.
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Pour ceux qui aiment comparer ce que fait la Belgique par rapport à d'autres pays, dans la gestion de la réponse à la pandémie, voici une façon d'aborder le sujet. Comparez les cas confirmés quotidiens et les tests quotidiens par million d'habitants. Cela ressemble à ceci :
Voici une aide sur l'interprétation de ces données graphiques.
Impression:
Ci-dessus, ce diagramme de dispersion offre une autre façon de voir l'étendue des tests par rapport à l'ampleur de l'épidémie dans différents pays.
Ce graphique montre le nombre quotidien de tests (axe vertical) par rapport au nombre quotidien de nouveaux cas confirmés (axe horizontal), tous deux par million de personnes.
En regardant vers le bas à gauche sur le graphique, nous voyons certains pays effectuer dix ou cent fois moins de tests que d'autres pays avec un nombre similaire de nouveaux cas confirmés.
A l'inverse, en regardant vers la droite et plus haut, on voit certains pays trouver dix ou cent fois plus de cas que d'autres sur un nombre similaire de tests.
Lorsque le nombre de cas confirmés est élevé par rapport à l'étendue des tests (vers le bas à gauche), cela suggère qu'il n'y a peut-être pas suffisamment de tests effectués pour surveiller correctement l'épidémie. Dans ces pays, le nombre réel d'infections peut être bien supérieur au nombre de cas confirmés.
Et l'inverse bien sûr vers le haut et à droit sur ce graphique.
Et pour mieux comprendre la place de plusiers pays dans ce bilan de tests et de cas confirmés, voici une petite vidéo que j'ai préparée pour aider à voir quels pays en sont où en comparaison avec la Belgique.
Reprenons le premier graphique présenté.
Impression:
1.) Regardez les pics ou "vagues" dans le passé. Ils ont tous mis un peu de temps à descendre. Les données actuelles pour les cas quotidiens confirmés ne semblent pas avoir trouvé, le 14 janvier 2022, ce tournant.
2.) Combien d'experts dans le passé ont exprimé l'opinion lorsque la Belgique était au milieu d'une des "vagues" précédentes, qu'une "vague" beaucoup plus importante était certainement à prévoir ?
Pas beaucoup. Vivre dans l'incertitude peut être encore plus difficile pour les experts qui doivent parler, que pour la foule qui peut se taire.
- Peut-être n'ont-ils pas voulu effrayer tout le monde. (Même si cette technique est utilisée quotidiennement sur le Journal Télévisé. "Si ça saigne ça mène. On montrera ça d'abord à l'ouverture de l'émission". )
- Ou peut-être ne connaissaient-ils pas mieux l'avenir que ma tante Philomène qui n'est pas épidémiologiste. Et compte tenu des principes de gestion mis en pratique par le gouvernement belge dans le passé, faut-il s'étonner de la situation actuelle ? Non.
- Après tout. Ces actions s'appuyaient sur la copie la plus fidèle possible, et dans un délai généralement (mais pas toujours) raisonnable, des décisions prises dans de nombreux autres pays plus grands, ou avec des initiatives plus fortes et plus rapides, que la Belgique.
3.) Y a-t-il des pays de l'Union européenne qui ont réussi de manière constante et inébranlable à mettre ce virus à genoux ? Non.
Certains semblaient très forts à certains moments, puis prenaient invariablement une autre raclée de la part de cet adversaire très coriace.
La Belgique et les autres sont une famille, que l'on aime les autres frères, sœurs et cousins portant le même nom de famille "européen" ou non.
Le soutient et la solidarité: essentiel. Fini les petites compétitions et les jalousies.
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Parfois, le Moyen Âge et ses années de peste ne semblent pas être aussi éloignés qu'il y a quelques années à peine.
Donc, ces données nous ont clairement appris que nous testons plus.
Plus de gens sont vaccinés.
Et pourtant, les nouveaux cas par jour n'ont jamais été aussi élevés en Belgique.
"Oui mais ..."
Peut-être devrions-nous accepter que dans son dernier costume pour la fête et déguisement d'Omicron, ce petit virus nous a tous déjoués ?
Manque-t-il quelque chose dans tout cela et dans toutes ces données ?
Oui, une politique claire, concise et inébranlable sur comment, où, et pendant combien de temps, les personnes dont les tests sont positifs doivent être séparées des autres membres de la société.
Vous devriez relire cette phrase pour voir si elle vous fait peur ou non.
Si l'on résume rapidement ces exigences dans le terme "confinement" ou le terme plus doux "quarantaine", c'est peut-être un mauvais choix de mots.
Des mots vite résistés par ceux qui les entendent.
Des mots auquels résistent ceux qui portent des souvenirs qui leur ont été donnés basés dans un passé de plus en plus lointain.
Au lieu de cela, je me penche vers des mots qui résonnent avec "salut".
Voltaire écrit dans Candide : « Un petit mal pour un grand bien ».
Même que dans le même esprit, je préfère : Une courte privation de liberté pour assurer son retour définitif pour soi, et pour toute la société.
Et par ça, peut-être au plus vite s'éloigner des sentiments quotidiens actuellement souvent repris dans : "J'en ai marre..."
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La plupart trouvent que c'est un sujet désagréable et trop compliqué à étudier et à mettre en place.
Juste pas très amusant du tout, et pas dans nos traditions. (Même qu'au Laetare, les entrées de la ville sont fermées et contrôlées pour une autre raison.)
C'est vrai. Ce n'est pas très amusant du tout, alors que nous devrions tous être activement impliqués dans la préparation des Kermesses et du Laetare.
On nous suggère d'apprendre à vivre avec notre petit ami grossier, le SARS-CoV-2, qui devient juste une gêne et un désagrément quotidien. Trouvons le positif là-dedans. Comme c'est agréable que de s'inquiéter de mourir de ce visiteur inattendu à notre porte semble être une occupation de plus en plus lointaine dans nos pensées.
"Patience et longueur de temps ..."
Dommage. Suivons celui devant nous comme dans le tableau ci-dessus.
Et restez bien approvisionné avec ceux-ci.
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Vivre dans l'incertitude. Êtes-vous prêt pour un peu plus?
If you speak too much or too often, people stop listening.
If you write too much or too often, people stop reading.
Si vous parlez trop ou trop souvent, les gens arrêtent de vous écouter.
Si vous écrivez trop ou trop souvent, les gens arrêtent de vous lire.
Coronavirus.
Où en sommes-nous dans le monde et en Belgique avec cette peste?
La carte ci-dessus confirme que nous sommes parmi les plus chauds.
(Et je ne veux pas dire, la température à l'extérieur).
Regardons de plus près les détails...
- Belgique: n°8 à la mondiale.
- 14.052 cas par jour (122 par 100.000 habitants).
- Sur les 14 derniers jours, une augmentation dans les nouveaux cas de 21%.
- 32 décès par jour.
- Parmi ceux qui pourraient être vaccinés au moins une fois, 76% ont été vaccinés au moins une fois. (100 - 76 = 24%, non vaccinées).
Et dans l'actualité d'aujourd'hui,
... une nouvelle variante du coronavirus.
"Omicron."
Qu'est-ce que ça veut dire?
Comment doit-on prendre ça ?
Est-ce un problème?
Est-ce un problème pour ceux qui ne sont pas vaccinés ?
Cette variante a été identifiée dans des régions d'Afrique du Sud. Là-bas, seulement 28 % de la population a été vaccinée.
Ces deux découvertes (peu de vaccinées + nouvelle variante du virus) vont-elles de pair ?
Absolument.
Comme les frites et la moutarde.
Est-ce un problème pour ceux qui ne sont pas vaccinés ?
Oui. Compte là-dessus.
Est-ce un problème pour ceux qui sont vaccinés?
Je ne proposerais même pas de penser à donner un avis là-dessus.
Mais qui pourrait être un expert à écouter ?
Je choisis le docteur Anthony Fauci.
Google son nom si vous ne savez pas qui il est.
Qu'apprenons-nous du Dr Fauci? (Et que je vous traduis ci-dessous).
Traductions des phrases numérotées ci-dessus)
- Une variante (nommée 'Omicron') avec à peu près 30 mutations de son matériel génétique. En termes simples : les mutations sont le moyen par lequel le processus de sélection du virus permet de déjouer un vaccin.
- Le virus peut être plus transmissible et peut échapper aux vaccins actuels "dans une mesure encore à déterminer".
- Il y avait eu quelques infections parmi ceux qui s'étaient rétablis de la variante Delta et parmi ceux qui avaient été vaccinés.
- Les scientifiques ne connaissent pas la gravité des infections causées par la nouvelle variante. Il est tout à fait possible qu'il se propage plus rapidement mais provoque une maladie moins grave.
- "Vous ne voulez pas dire ne vous inquiétez pas, et vous ne voulez pas dire que vous devez vous inquiéter malade ..."
- "Même si les chiffres sont encore petits, le temps de doublement est assez rapide et la pente de l'augmentation est vraiment assez forte."
Conclusion, s'il vous plaît.
Je pourrais choisir d'expliquer plus sur les variantes virales.
Cela pourrait inclure des explications sur les images dans la galerie ci-dessous.
Mais ce n'est pas la bonne façon de souligner ce qui est important ici.
Voici ce qui est important.
Incertitude.
Je résumerais la bonne réponse au résumé d'un expert avec ce seul mot.
Incertitude.
Nous vivons dans l'incertitude depuis le début de cette pandémie.
Depuis fin 2019 au niveau mondial.
Depuis début février 2020 en Belgique.
Vous avez eu le temps de vous entraîner à vivre dans l'incertitude.
Êtes-vous devenu meilleur à vivre avec ce défi ?
Est-ce que tout cela vous énerve tellement que vous en perdez la concentration ?
La perte de concentration rend la chute dans un piège beaucoup plus probable.
Les bons choix à faire, vous les connaissez déjà tous.
Etre vacciné. Masque. Mains. Aération. Moins de contacts. Et cetera.
Mais restez concentré. Restez vigilant. Ici dans cette nouvelle jungle.
La vigilance est conduite par la branche sympathique du système nerveux autonome.
Le même processus qui nous a guidé dans le passé pour éviter d'être mangé par un tigre.
C'est ce qu'on appelle le système de « la peur et la fuite ».
Mais une vigilance constante demande de l'énergie et devient donc lassante.
Même si vous sortez moins, apportez avec vous votre vigilance, lorsque vous sortez.
Et assurez-vous de vous reposer.
Car de longues périodes d'hypervigilance ont finalement un coût très élevé.
Cela peut être géré.
Cela mérite le temps requis pour apprendre à le faire.
Voici un indice.
Vous n'apprendrez pas à compenser la vigilance requise en ces temps, en regardant le Journal Télévisé.
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Et si cela ne suffit pas déjà, qu'en est-il de la guerre non déclarée entre le Royaume-Uni et la France à propos des bateaux de migrants ?
En 1700, la population mondiale était d'environ 550 millions.
Aujourd'hui, il est de 7.805.529.0++ soit près de 8 milliards.
Alors qui est surpris de voir les gens se déplacer pour trouver
le meilleur endroit où s'évader et pour faire cuire leur pain ?
Ce n'est pas la première fois que les Anglais blâment les Français, et les Français blâment les Anglais.
La guerre de Cent Ans (1337-1453) en est un exemple précédent. Un autre plus récemment en 1940-45.
Reposez-vous bien.
How Are The Vaccinations Going In Belgium?
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Servez vous du traducteur ci-dessus si besoin.
A picture is worth a thousand words.
When will everyone be vaccinated at least once?
In English if you prefer ...
Some details about the distribution of vaccines in Belgium ...
Population corrected vaccination rates ...
Inhabitant age and vaccination rates ...
Currently those age 18 to 44 are the winners.
Gender effects ...
Wow! Look at those women go!
One can assume more Nurses and Nursing Home Aides are female, but who knows?
In Belgium's offices of the government Ministeries, more women work there as well.
In Belgium, anything is possible. We have seen that.
Well, almost anything. For this goal it tends to have two speeds: 1-slow. 2-stop.
Here is the rate of increase in vaccinations in Belgium in the 12 last days.
-
-
- the red line: the % accomplished of the total population target
- the green line: the incease since the first day of vaccination shown.
-
Certainly not a vaccine BlitzKrieg (Perhaps a bad choice of descriptive term. And I'm dating myself).